Engager des détenues en grande difficulté dans un dialogue, les aider à organiser et exprimer leur pensée, s’enrichir de celle d’autrui, oser réfléchir sur soi, sur sa vie, participer aux interrogations existentielles, (re)découvrir des valeurs-repères et petit à petit « comprendre qu’on a le droit de penser par soi-même, que cela donne une liberté qu’on ne peut ôter même en prison ».